Poème « Aux petits enfants du poète Roucher »

Premier vers dans l’édition de référence ci-dessous : « Il est des noms aimés qui, s’attachant à l’âme,… »
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Éditions du poème :

  • « Aux petits enfants du poète Roucher », Antoine Guillois. Pendant la Terreur : le poète Roucher, 1745-1794, Paris : Calmann Lévy, p. 391, 1890
  • « Aux petits-enfants du poète Roucher », Cahiers Roucher - André Chénier, n° 9, poème reproduit dans Catriona Seth, « André Chénier et Marceline Desbordes-Valmore : l’écho d’une voix fraternelle ? », p. 52, 1989
  • « Aux petits enfants du poète Roucher », François Moureau, Madeleine Bertaud et Catriona Seth. L’éveil des Muses Poétique des Lumières et au-delà, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2016 : Marie Breguet, « Le dernier quatrain de Roucher », p. 147-160, 2016





Texte du poème (selon l’édition la plus ancienne listée ci-dessus) :

Aux petits enfants du poète Roucher

Il est des noms aimés qui, s’attachant à l’âme,
Vivent comme des fleurs au fond du souvenir ;
Gémissant, mais baigné d’harmonie et de flamme,
Le vôtre a des parfums pour tout votre avenir.
Beaux enfants que ce nom mélodieux rassemble,
Doux héritiers du cygne, ah ! ne vous quittez pas.
Un écho pleure encore où vous parlez ensemble,
Mais une gloire chante où vous posez vos pas !





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