Poème « À Marie Babeuf »

Premier vers dans l’édition de référence ci-dessous : « Toi qui vois tous les jours un Ange… »
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Manuscrits du poème :

Édition du poème :

  • « [sans titre] », Fernando Schirosi. Annali della Facoltà di. Magistero - Università di Bari, vol. XI, 1972, « Una romantica dimenticata: Marceline Desbordes-Valmore », p. 338, 1972





Texte du poème (selon l’édition la plus ancienne listée ci-dessus) :

À Marie Babeuf

Toi qui vois tous les jours un Ange
Sourire à ta jeune beauté,
Lorsqu’il te demande en échange
Le sourire de ta gaîté,
Heureuse es-tu, Rose Marie !
Un ange est difficile à voir.
Toi, si tu veux qu’il te sourie
Tu n'as besoin que d’un miroir.





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