« À la nuit », Marceline Desbordes-Valmore. Élégies, Marie et romances, Paris : François Louis, p. 33-34, 1819
« À la Nuit », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Mme Desbordes-Valmore. Troisième édition, Paris : François Louis, p. 145-146, 1820
« À la Nuit », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Troisième édition, Paris : Théophile Grandin, p. 167-168, 1822
« À la Nuit », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore [en deux tomes]. Tome I., Paris : Boulland, p. 487-482, 1830
« À la Nuit », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Tome second, Paris : Boulland, 1830
Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :
« À la Nuit », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies complètes de Marceline Desbordes-Valmore publiées par Bertrand Guégan avec des notes et des variantes, tome premier, Paris : Éditions du Trianon, p. 260-261, 1931
« À la nuit », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 103, 1973
Édition du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :
« À la Nuit », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis de Marceline Valmore, avec une introduction, une biographie sommaire et une bibliographie par Yves-Gérard Le Dantec, Paris : Fernand Hazan, p. 30-31, 1950
Autre édition du poème :
« À la nuit », Marc Stephan, Garance Kutukdjian, Béatrice Ferrari. Focus Bac avec Schoolmouv. Bac 2023. Français. Voies générale et technologique, Paris : Belin Éducation, Schoolmouv, p. 222, 2022
Traduction du poème :
japonais :
« やさしい夜に », Tamotsu Tanabe (田辺保), 恋の涙はもういらない ヴァルモール詩集, p. 56-59, Tokyo : サンリオ (Sanrio), 1983
Partitions du poème mis en musique :
Dieudonné Duguet, « À la nuit », Liège : Duguet.
Émile Rouzé, « Douce Nuit », Paris : Meissonnier, 1827 ; dédié à Mademoiselle Stéphanie Latteur.
Edmond Michotte, « À la nuit », Paris : Flaxland, 1864.
Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :
À LA NUIT
Douce Nuit, ton charme paisible
Du malheureux suspend les pleurs ;
Nul mortel n’est insensible
À tes bienfaisantes erreurs.
Souvent dans un cœur rebelle
Tu fais naître les désirs ;
Et l’amour tendre et fidèle
Te doit ses plus doux plaisirs.
Tu sais par un riant mensonge,
Calmer un amant agité,
Et le consoler, en songe,
D’une triste réalité.
Ô nuit ! pour la douleur sombre,
Et pour le plaisir d’amour,
On doit préférer ton ombre
À l’éclat du plus beau jour.
Comme dans le sein d’une amie
On aime à verser sa douleur,
C’est à toi que je confie
Les premiers soupirs de mon cœur.
Cache-moi, s’il est possible,
L’objet de mon tendre effroi :
Comme moi s’il est sensible,
Qu’il soit discret comme toi !
Signaler une erreur ou transmettre un commentaire
Votre nom et/ou votre adresse de courriel :
Votre commentaire (les commentaires sont transmis à l'équipe d'administration du site mais ne sont pas affichés sur le site et ne donnent pas lieu à une réponse) :