Poème « L’alouette »

Premier vers dans l’édition de référence ci-dessous : « Alouette, hélas ! petite alouette !… »
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Manuscrits du poème :

Éditions du poème :

Édition du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « L’alouette », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 590, 1973

Autre édition du poème :

Enregistrement du poème chanté :

Partitions du poème mis en musique :

  • Marceline Desbordes-Valmore, « À l’alouette », Paris : Magasin de musique de la Lyre Moderne, 1821.
  • Romain-Octave Peltier, « Petite alouette », Montréal : A. J. Boucher, 1864 ; à Mademoiselle Eugénie S..





Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

L’ALOUETTE.

    Alouette, hélas ! petite alouette !
    Ton cœur est content, ta voix peut chanter ;
    Tes œufs sont éclos, et la bergerette
    Ne t’écoute au loin que pour t’imiter.

    De ton nid d’amour tu prends ta volée
    Pour aller aux cieux dire ton bonheur ;
    Sitôt que des cieux la route est voilée,
    Tu reviens au nid reposer ton cœur.

    Alouette, hélas ! sois toujours heureuse,
    Au milieu des blés, du ciel et des fleurs !
    Mais dans la saison qui rend amoureuse,
    Demande à l’amour d’essuyer mes pleurs.





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