Poème « À Madame Henriette Favier »

Premier vers dans l’édition de référence ci-dessous : « Si je brisais de la terre… »
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Manuscrits du poème :

Éditions du poème :

Édition du poème dans des recueils :

Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « [Je monterais où votre âme] », Boyer d’Agen. Œuvres manuscrites de Marceline Desbordes-Valmore : albums à Pauline, Paris : A. Lemerre, p. 38, 1921
  • « À Madame Henriette Favier », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 453, 1973





Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

À MADAME HENRIETTE FAVIER

      Si je brisais de la terre
        Le mystère,
      Si je sentais de mon cœur,
      Se réaliser les ailes,
        Prompt comme elles
      Je l’enverrais au bonheur.

      Je monterais où votre âme,
        Pleurs et flamme,
      Se prépare un nid plus doux ;
      J’en chercherais un moi-même,
        Où l’on aime,
      Comme on l’apprend avec vous.

      Mais je marche consternée,
        Enchaînée
      Sous des fers plus lourds que moi ;
      Et j’abreuve ma souffrance,
        D’espérance,
      Comme on l’apprend avec toi !





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