Poème « À Mademoiselle Mars »

Premier vers dans l’édition de référence ci-dessous : « De Thalie… »
logo Wikidata


Manuscrits du poème :

Éditions du poème :

Éditions du poème dans des recueils :

  • « À mademoiselle Mars », Marceline Desbordes-Valmore. Élégies et poésies nouvelles, Paris : Ladvocat, p. 172-174, 1825
  • « À Mademoiselle Mars », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore [en deux tomes]. Tome I., Paris : Boulland, p. 549-550, 1830
  • « À Mademoiselle Mars », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Tome second, Paris : Boulland, 1830

Prépublication :

Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « À Mademoiselle Mars », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies complètes de Marceline Desbordes-Valmore publiées par Bertrand Guégan avec des notes et des variantes, tome premier, Paris : Éditions du Trianon, p. 312-313, 1931
  • « À Mademoiselle Mars », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 117, 1973

Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :

  • « À mademoiselle Mars », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de madame Desbordes-Valmore, avec une notice par M. Sainte-Beuve, Paris : Charpentier, p. 203-204, 1842
  • « À mademoiselle Mars », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Nouvelle édition augmentée et précédée d’une notice par M. Sainte-Beuve, Paris : Charpentier, p. 179-180, 1860

Partition du poème mis en musique :

  • Ferdinando Paër, « Nocturne à deux voix », Paris : Magasin de musique de la Lyre Moderne, 1821 ; Dédié à Mademoiselle Mars.





Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

À Melle MARS

          De Thalie
          Plus jolie,
        Quand Mars enchante les jeux,
          Cette Muse,
          Qui s’amuse,
        Semble rire dans ses yeux.

          L’Amour même
          D’un emblème
        Entoure son front charmant ;
          Pour couronne
          Il lui donne
        La perle et le diamant.

          Sans rivale,
          Sans égale,
        Elle règne avec douceur.
          Une grâce
          Suit sa trace :
        Elle croit suivre une sœur.
      
          Comme Aurore
          Est encore
        Plus belle en versant des pleurs,
          Quelques larmes
          Sur ses charmes
        Semblent couler sur des fleurs.





Signaler une erreur ou transmettre un commentaire

Votre nom et/ou votre adresse de courriel :
Votre commentaire (les commentaires sont transmis à l'équipe d'administration du site mais ne sont pas affichés sur le site et ne donnent pas lieu à une réponse) :