Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 2007) :
AU PEINTRE ET PHILOSOPHE BERGEON
Homme-abeille ! et glanant les parterres de fleurs
Dieu vit en souriant tes suaves rapines ;
Ami ! tu fis le miel pour charmer nos douleurs,
Et pour t’en couronner tu jetas les épines.
Celle qui t’aime
Marceline Valmore
Lyon juin 1831
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