Poème « À M. Dubois »

Premier vers dans l’édition de référence ci-dessous : « Lève sur tes genoux ta plus petite fille,… »
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Manuscrits du poème :

Éditions du poème :

Éditions du poème dans des recueils :

  • « À M. Dubois », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies inédites de Madame Desbordes-Valmore publiées par M. Gustave Revilliod, Genève : Jules Fick, p. 176, 1860
  • « À M. Dubois », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Mme Desbordes-Valmore publiées par Gustave Revilliod (deuxième édition), Genève : Jules-Guillaume Fick, p. 196, 1873

Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « À M. Dubois », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore. 1819-1859. Les Enfants et les Mères, Paris : Lemerre, p. 140, 1887
  • « À M. Dubois », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 554, 1973

Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :

  • « À M. Dubois », Marceline Desbordes-Valmore. Les Poésies de l’enfance, par Mme Desbordes-Valmore, Paris : Garnier Frères, p. 78, 1869
  • « À M. Dubois », Marceline Desbordes-Valmore. Les Poésies de l’enfance, par Mme Desbordes-Valmore, Deuxième édition. Revue et augmentée. Paris : Garnier Frères, p. 78, 1873
  • « À M. Dubois », Marceline Desbordes-Valmore. Les Poésies de l’enfance, par Mme Desbordes-Valmore, Troisième édition. Revue et augmentée. Paris : Garnier Frères, p. 78, 1876
  • « À M. Dubois », Marceline Desbordes-Valmore. Les Poésies de l’enfance, par Mme Desbordes-Valmore, Quatrième édition. Paris : Garnier Frères, p. 78, 1881





Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

À M. DUBOIS

Directeur de l’hôpital de Douai,

Sa petite fille

  Lève sur tes genoux ta plus petite fille,
  Père ! j’ai quelque chose à cacher dans ton cœur :
  J’ai prié ce matin pour toute la famille,
      En priant Dieu pour ton bonheur.

  Regarde ce bouquet : c’est là qu’est le mystère.
  Pour le rendre plus cher à ton cœur généreux,
  On l’a noué des noms de tous les malheureux
      Que tu consoles sur la terre.






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