Poème « L’attente »

Premier vers dans l’édition de référence ci-dessous : « C’est l’heure où, par mon âme, en silence implorée,… »
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Manuscrits du poème :

Éditions du poème :

Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « L’Attente », Boyer d’Agen. Œuvres manuscrites de Marceline Desbordes-Valmore : albums à Pauline, Paris : A. Lemerre, p. 70, 1921
  • « L’attente », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 625, 1973
  • « L’attente », Marc Bertrand. Marceline Desbordes-Valmore, œuvre poétique, Lyon : Jacques André éditeur, p. 483-484, 2007

Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :

  • « L’Attente », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis de Marceline Valmore, avec une introduction, une biographie sommaire et une bibliographie par Yves-Gérard Le Dantec, Paris : Fernand Hazan, p. 133, 1950
  • « L’Attente », Jeanine Moulin. Poètes d’aujourd’hui. Marceline Desbordes-Valmore, Paris : Seghers, p. 155, 1955
  • « L’Attente », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes, Paris : Tchou, p. 179, 1965
  • « L’attente », Marceline Desbordes-Valmore. Comme à ténèbre, Le Serment de fidélité, collection La bibliothèque des impardonnables, Paris : Fario, p. 30, 2017

Autres éditions du poème :

  • « [sans titre] », Galerie des femmes de Walter Scott, quarante deux portraits accompagnés chacun d’un portrait littéraire, « Metelill », p. 81-84, Paris : Marchant, A. Dupont ; Rittner et Croupil, p. 83, 1839
  • « [sans titre] », Galerie des femmes de Walter Scott : quarante portraits gravés sur acier accompagnés chacun d’un portrait littéraire, « Metelill », p. 53-56, Paris : Marchant, p. 55, 1842





Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

L’ATTENTE

  C’est l’heure où, par mon âme, en silence implorée,
      Ton âme est attirée.
  Quand tes pas font trembler ma vie et les roseaux,
  Quand tout est calme aux cieux, sur la terre et les eaux,
  On dirait que tout prend une âme sur la terre,
  Pour aimer comme toi ! pour chercher ses amours ;
  Pour respirer l’air pur qui rafraîchit nos jours ;
  Et goûter, avec nous,cette nuit de mystère !

  Lyon, près de la Saône.





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