Poème « Celle qui ne rit pas »

Premier vers dans l’édition de référence ci-dessous : « Heureuses pastourelles,… »
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Manuscrits du poème :

Éditions du poème :

Éditions du poème dans des recueils :

  • « Celle qui ne rit pas », Marceline Desbordes-Valmore. Élégies et poésies nouvelles, Paris : Ladvocat, p. 156-157, 1825
  • « Celle qui ne rit pas », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore [en deux tomes]. Tome I., Paris : Boulland, p. 535-536, 1830
  • « Celle qui ne rit pas », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Tome second, Paris : Boulland, 1830

Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « Celle qui ne rit pas », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies complètes de Marceline Desbordes-Valmore publiées par Bertrand Guégan avec des notes et des variantes, tome premier, Paris : Éditions du Trianon, p. 301-302, 1931
  • « Celle qui ne rit pas », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 114, 1973

Édition du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :

  • « Celle qui ne rit pas (romances) », Marceline Desbordes-Valmore. Des fleurs et des pleurs. Poésies choisies. Choix des poèmes par Yohann Ringuedé, Librio 3€, Paris : J’ai lu, p. 24-25, 2023

Traduction du poème :

  • tchèque :
    • « Ta, jež se nesměje », Anděla Janoušková, Žár lásky, lásky žal : výbor z veršů, Prague : Československý spisovatel, 1989

Partitions du poème mis en musique :

  • Pauline Duchambge, « Celle qui ne rit pas », Paris : Mme Neyts., Jce. Pleyel et fils aîné, 1825 ; dédiée à Mademoiselle Delphine Gay.
  • Édouard Bruguière, « Celle qui ne rit pas », Lyon : Arnaud, 1825 environ.
  • L. H. Gouin, « Celle qui ne rit pas », Paris : L’Artiste, 1834-08-09.





Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

CELLE QUI NE RIT PAS

        Heureuses pastourelles,
        Oui cherchez, sous l’ormeau,
        Des lits de fleurs nouvelles
        Et la fraîcheur de l’eau,
        Par vos danses légères,
        Appelez-vous mes pas ?
        Faites rire, bergères,
        Celle qui ne rit pas.

        Ruisseaux, où mes compagnes
        Brûlent de se revoir,
        Coulez de nos montagnes,
        Rendez-leur un miroir :
        Votre onde qui soupire,
        Attirera mes pas ;
        Ruisseaux, faites sourire
        Celle qui ne rit pas.
    
        Comme les hirondelles,
        J’ai chanté le printemps ;
        Mais je n’aurai point d’ailes,
        Quand fuira le beau temps...
        Ah ! si ma douce aurore
        Revenait sur ses pas,
        Elle rirait encore,
        Celle qui ne rit pas !





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