« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Troisième édition, Paris : Théophile Grandin, p. 109-110, 1822
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore [en deux tomes]. Tome I., Paris : Boulland, p. 255-256, 1830
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Tome premier, Paris : Boulland, 1830
Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :
« Élégie. J’étais à toi », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore. 1819-1833. Idylles. Élégies, Paris : Lemerre, p. 79-80, 1886
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies complètes de Marceline Desbordes-Valmore publiées par Bertrand Guégan avec des notes et des variantes, tome premier, Paris : Éditions du Trianon, p. 131-132, 1931
« Élégie », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 65, 1973
Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de madame Desbordes-Valmore, avec une notice par M. Sainte-Beuve, Paris : Charpentier, p. 78-79, 1842
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Nouvelle édition augmentée et précédée d’une notice par M. Sainte-Beuve, Paris : Charpentier, p. 75-76, 1860
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres choisies de Marceline Desbordes-Valmore avec études et notices par Frédéric Loliée, Paris : Libairie Ch. Delagrave, p. 25-26, 1909
« J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu », Marceline Desbordes-Valmore. Les chefs d’œuvre lyriques de Marceline Desbordes-Valmore. Choix et notice de Auguste Dorchain, Paris : A. Perche, p. 2-3, 1909
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. L’amour, l’amitié, les enfants, mélanges. Choix, notices biographique et bibliographique par Alphonse Séché, Paris : Louis-Michaud, p. 14-15, 1910
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Le Livre du cœur. Collection des dames, Paris : Picart, p. 43-44, 1920
« Élégie. J’étais à toi... », Marceline Desbordes-Valmore. Idylles et élégies, Paris : Lemerre, p. 15-16, 1920
« Élégie : J’étais à toi », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies. Choix et notice par Oscar Colson. Bibliothèque francaise, Vol. LVI, Berlin : Internationale Bibliothek, p. 37, 1923
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies choisies. Notice et notes par Marguerite Plessis. Les classiques pour tous ; N° 344, Paris : Hatier, p. 14-15, 1926
« Élégie. J’étais à toi », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Marceline Desbordes-Valmore, Lyon : H. Lardanchet, p. 51-52, 1927
« Élégie. J’étais à toi... », Marceline Desbordes-Valmore. Choix de poésies. Notice par Maxime Formont, Paris : Librairie Alphonse Lemerre, p. 29-30, 1928
« Elégie : J’étais à toi », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes et proses [Préface et notes de Tony Taveau], Paris : Marcel Seheur, p. 57, 1928
« Élégie. J’étais à toi peut-être », Marceline Desbordes-Valmore. Choix de poésies. Préface par André Dumas. Bibliothèque-Charpentier, Paris : Fasquelle, p. 116-117, 1933
« Élégie : J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies Choisies de M. Desbordes-Valmore avec introduction et notes par Maurice Allem, Paris : Garnier Frères, p. 20-21, 1935
« Elégie : J’étais à toi peut-être... », Marceline Desbordes-Valmore. Choix de poésies. Illustrations de G. Ducultit, Chamonix : Jean Landru, p. 65-66, 1944
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies choisies, Ornements d’Henriette Huchard. Collection poétique. N° 4, Paris : Les Éditions De La Nouvelle France, p. 21-22, 1945
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies, illustrations de Jean Pichard. Collection Bagatelle ; 7, Paris : Gründ, p. 13-14, 1945
« Élégie (Pour la pemière fois...) », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis de Marceline Valmore, avec une introduction, une biographie sommaire et une bibliographie par Yves-Gérard Le Dantec, Paris : Fernand Hazan, p. 24-25, 1950
« Élégie. J’étais à toi », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies. Préface de Alain Bosquet, Paris : Le livre club du libraire, p. 13-14, 1961
« Élégie (J’étais à toi peut-être...) », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes, Paris : Tchou, p. 19-20, 1965
« Élégie (J’étais à toi...) », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies. Préface et choix d’Yves Bonnefoy, Paris : Gallimard nrf, p. 43-44, 1983
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poesie, a cura di Giuseppe Pintorno, disegni di Francesca Amat, testo francese a fronte, La Vita Felice, p. 24-26, 1994
« Élégie (extrait) », Marceline Desbordes-Valmore. Textes choisis et présentés par Marc Bertrand, HB Editions, p. 20, 2001
« Èlégie (J’étais à toi peut-être...) », Marceline Desbordes-Valmore. Liriche d’amore. Introduzione, versione poetica dal francese e note di Maria Luisa Spaziani. Testo originale a fronte, Milan : Gallino, p. 8, 2004
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poesie. Introduzione e cura di Danilo Vicca, Rome : Aracne, p. 84, 2008
« Élégie (« J’étais à toi ») », Marceline Desbordes-Valmore. L’Aurore en fuite. Poèmes choisis. Choix et préface par Christine Planté, Paris : Points, p. 37-38, 2010
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Qui me rendra ces jours où la vie a des ailes, Paris : Gallimard / Télérama, 2013
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Comme à ténèbre, Le Serment de fidélité, collection La bibliothèque des impardonnables, Paris : Fario, p. 7-8, 2017
« Élégie, « J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu » », Marceline Desbordes-Valmore. 30 poèmes. Choix des poèmes et dossier par Alexis Buffet, Paris : Belin éducation, p. 13-14, 2022
Autre édition du poème :
« Élégie », Handbuch der französischen Poesie, Poetik und Geschichte der Poesie: La France poetique; oder, Poetischer Hausschatz der Franzosen, eine vollständige Sammlung französischer Gedichte nach den Gattungen geordnet von den frühesten Zeiten bis auf unsere Tage, Leipzig : Friedrich Volckmar, p. 420, 1843
Traductions du poème :
allemand :
« Elegie », Luise von Ploennies, Ein fremder Strauss, p. 151-152, Heidelberg, 1844
« Elegie », Gisela Etzel-Kühn, Stefan Zweig, Marceline Desbordes-Valmore : das Lebensbild einer Dichterin, p. 90, Leipzig : Inselverlag, 1927
espagnol :
« Elegía », Norberto Gimelfarb, Marta Giné-Janer, Hikma 11, Marceline Desbordes-Valmore (selección de poemas), p. 53, Córdoba : Universidad de Córdoba, 2012
« Elegia », Fernanda Fratoddi, Poesie e lettere, precedute da uno studio biografico critico a cura di Fernanda Fratoddi, p. 72, Foligno : F. Campitelli, 1926
« Elegia », Giuseppe Pintorno, Poesie, a cura di Giuseppe Pintorno, disegni di Francesca Amat, testo francese a fronte, p. 25-27, Milan : La Vita Felice, 1994
« Elegia (Ero forse già tua...) », Maria Luisa Spaziani, Liriche d’amore. Introduzione, versione poetica dal francese e note di Maria Luisa Spaziani. Testo originale a fronte, p. 9, Milano : Gallino, 2004
« Elegia », Danilo Vicca, Marceline Desbordes-Valmore. Poesie. Introduzione e cura di Danilo Vicca, p. 85, Roma : Aracne, 2008
Henry Woollett, « Ton nom », Paris : J. Hamelle, 1912 ; à Madame Charles Hermann.
Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :
ÉLÉGIE
J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu.
Ma vie, en se formant, fut promise à la tienne ;
Ton nom m’en avertit par un trouble imprévu,
Ton âme s’y cachait pour éveiller la mienne.
Je l’entendis un jour et je perdis la voix ;
Je l’écoutai longtemps, j’oubliai de répondre.
Mon être avec le tien venait de se confondre ;
Je crus qu’on m’appelait pour la première fois.
Savais-tu ce prodige ? Eh bien, sans te connaître,
J’ai deviné par lui mon amant et mon maître,
Et je le reconnus dans tes premiers accents,
Quand tu vins éclairer mes beaux jours languissants.
Ta voix me fit pâlir, et mes yeux se baissèrent ;
Dans un regard muet nos âmes s’embrassèrent ;
Au fond de ce regard ton nom se révéla,
Et sans le demander j’avais dit : Le voilà !
Dès lors il ressaisit mon oreille étonnée ;
Elle y devint soumise, elle y fut enchaînée.
J’exprimais par lui seul mes plus doux sentiments ;
Je l’unissais au mien pour signer mes serments.
Je le lisais partout, ce nom rempli de charmes,
Et je versais des larmes :
D’un éloge enchanteur toujours environné,
À mes yeux éblouis il s’offrait couronné.
Je l’écrivais... bientôt je n’osai plus l’écrire,
Et mon timide amour le changeait en sourire.
Il me cherchait la nuit, il berçait mon sommeil ;
Il résonnait encore autour de mon réveil ;
Il errait dans mon souffle, et, lorsque je soupire,
C’est lui qui me caresse et que mon cœur respire.
Nom chéri ! nom charmant ! oracle de mon sort !
Hélas ! que tu me plais, que ta grâce me touche !
Tu m’annonças la vie, et, mêlé dans la mort,
Comme un dernier baiser tu fermeras ma bouche.
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