« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Troisième édition, Paris : Théophile Grandin, p. 117-118, 1822
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore [en deux tomes]. Tome I., Paris : Boulland, p. 273-276, 1830
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Tome premier, Paris : Boulland, 1830
Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :
« Élégie. Peut-être un jour », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore. 1819-1833. Idylles. Élégies, Paris : Lemerre, p. 88, 1886
« Élégie. Peut-être un jour sa voix », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore. Reliquiæ. Volume 4, Paris : A. Lemerre, p. 283-284, 1922
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies complètes de Marceline Desbordes-Valmore publiées par Bertrand Guégan avec des notes et des variantes, tome premier, Paris : Éditions du Trianon, p. 140-141, 1931
« Élégie », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 68, 1973
Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de madame Desbordes-Valmore, avec une notice par M. Sainte-Beuve, Paris : Charpentier, p. 86-87, 1842
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Nouvelle édition augmentée et précédée d’une notice par M. Sainte-Beuve, Paris : Charpentier, p. 85-86, 1860
« Élégie. Peut-être un jour... », Marceline Desbordes-Valmore. Idylles et élégies, Paris : Lemerre, p. 20-21, 1920
« Élégie. Peut-être un jour sa voix », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Marceline Desbordes-Valmore, Lyon : H. Lardanchet, p. 86-87, 1927
« Élégie. Peut-être un jour... », Marceline Desbordes-Valmore. Choix de poésies. Notice par Maxime Formont, Paris : Librairie Alphonse Lemerre, p. 32, 1928
« Élégie. Peut-être un jour sa voix », Marceline Desbordes-Valmore. Choix de poésies. Préface par André Dumas. Bibliothèque-Charpentier, Paris : Fasquelle, p. 124-124, 1933
« Élégie : Peut-être un jour sa voix tendre et voilée », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies Choisies de M. Desbordes-Valmore avec introduction et notes par Maurice Allem, Paris : Garnier Frères, p. 26-27, 1935
« Elégie : Peut-être un jour sa voix... », Marceline Desbordes-Valmore. Choix de poésies. Illustrations de G. Ducultit, Chamonix : Jean Landru, p. 71, 1944
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies choisies, Ornements d’Henriette Huchard. Collection poétique. N° 4, Paris : Les Éditions De La Nouvelle France, p. 23-24, 1945
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies, illustrations de Jean Pichard. Collection Bagatelle ; 7, Paris : Gründ, p. 19-20, 1945
« Élégie », Jeanine Moulin. Poètes d’aujourd’hui. Marceline Desbordes-Valmore, Paris : Seghers, p. 136-137, 1955
« Élégie. Peut-être un jour », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies. Préface de Alain Bosquet, Paris : Le livre club du libraire, p. 17, 1961
« Élégie (Peut-être un jour...) », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes, Paris : Tchou, p. 25-26, 1965
« Élégie (Peut-être un jour sa voix...) », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies. Préface et choix d’Yves Bonnefoy, Paris : Gallimard nrf, p. 48-49, 1983
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poesie, a cura di Giuseppe Pintorno, disegni di Francesca Amat, testo francese a fronte, La Vita Felice, p. 34-36, 1994
« Élégie (Peut-être un jour. . .) », Marceline Desbordes-Valmore. Liriche d’amore. Introduzione, versione poetica dal francese e note di Maria Luisa Spaziani. Testo originale a fronte, Milan : Gallino, p. 32, 2004
« Élégie », Marceline Desbordes-Valmore. Poesie. Introduzione e cura di Danilo Vicca, Rome : Aracne, p. 92, 2008
« Élégie (« Peut-être un jour ») », Marceline Desbordes-Valmore. L’Aurore en fuite. Poèmes choisis. Choix et préface par Christine Planté, Paris : Points, p. 41-42, 2010
« Élégie [Estratto] », Marceline Desbordes-Valmore. Amori. Testo originale a fronte. A cura di Antonio Veneziani, Rome : Elliot, p. 58, 2014
« Élégie VII », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies. Dossier par Virginie Belzgaou, Folio+ Lycée, Paris : Gallimard, 2021
Traductions du poème :
arabe :
« مرثية », نهى أبو عرقوب, شعراء القرن التاسع عشر (8) : الشعر الرومنطيقي - الجزء الأول ( بيرانجيه، ديبورد فالمور، سانت بوف وشعراء آخرون ), Abou Dabi : دائرة الثقافة والسياحة – مركز أبوظبي للغة العربية [Département de la Culture et du Tourisme - Centre d’Abou Dhabi pour la langue arabe], 2024
« Elegia », Giuseppe Pintorno, Poesie, a cura di Giuseppe Pintorno, disegni di Francesca Amat, testo francese a fronte, p. 35-37, Milan : La Vita Felice, 1994
« Elegia (Un giorno quella voce...) », Maria Luisa Spaziani, Liriche d’amore. Introduzione, versione poetica dal francese e note di Maria Luisa Spaziani. Testo originale a fronte, p. 33, Milano : Gallino, 2004
« Elegia », Danilo Vicca, Marceline Desbordes-Valmore. Poesie. Introduzione e cura di Danilo Vicca, p. 93, Roma : Aracne, 2008
« Elegia [Estratto] », Antonio Veneziani et Maria Borgese, Marceline Desbordes-Valmore. Amori. Testo originale a fronte. A cura di Antonio Veneziani, p. 59, Roma : Elliot, 2014
Jacques Leguerney, « Élégie », Lagny : Musik Fabrik.
Luigi Denza, « Peut-être un jour : Élégie », Milano : G. Ricordi e C., 1924.
Lex van Delden, « Élégie », 1939.
Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :
ÉLÉGIE
Peut-être un jour sa voix tendre et voilée
M’appellera sous de jeunes cyprès :
Cachée alors au fond de la vallée,
Plus heureuse que lui, j’entendrai ses regrets.
Lentement, des coteaux je le verrai descendre ;
Quand il croira ses pas et ses vœux superflus,
Il pleurera ! ses pleurs rafraîchiront ma cendre ;
Enchaînée à ses pieds, je ne le fuirai plus.
Je ne le fuirai plus ! je l’entendrai ; mon âme,
Brûlante autour de lui, voudra sécher ses pleurs ;
Et ce timide accent, qui trahissait ma flamme,
Il le reconnaîtra dans le doux bruit des fleurs.
Oh ! qu’il trouve un rosier mourant et solitaire !
Qu’il y cherche mon souffle et l’attire en son sein !
Qu’il dise : « C’est pour moi qu’il a quitté la terre ;
« Ses parfums sont à moi, ce n’est plus un larcin. »
Qu’il dise: "Un jour à peine il a bordé la rive ;
"Son vert tendre égayait le limpide miroir ;
"Et ses feuilles déjà, dans l’onde fugitive,
"Tombent. Faible rosier, tu n’as pas vu le soir !
Alors, peut-être, alors l’hirondelle endormie,
À la voix d’un amant qui pleure son amie,
S’échappera du sein des parfums précieux,
Emportant sa prière et ses larmes aux cieux.
Alors, rêvant aux biens que ce monde nous donne,
Il laissera tomber sur le froid monument
Les rameaux affligés dont la gloire environne
Son front triste et charmant.
Alors je resterai seule, mais consolée,
Les vents respecteront l’empreinte de ses pas.
Déjà je voudrais être au fond de la vallée ;
Déjà je l’attendrais..... Dieu ! s’il n’y venait pas !
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