Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :
« Jamais adieu », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore. 1833-1859. Élégies. Romances. Mélanges. Fragments. Poésies posthumes, Paris : Lemerre, p. 166-167, 1886
« Jamais adieu », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies complètes de Marceline Desbordes-Valmore publiées par Bertrand Guégan avec des notes et des variantes, tome second, Paris : Éditions du Trianon, p. 315-316, 1932
« Jamais adieu », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 237, 1973
Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :
« Jamais Adieu », Marceline Desbordes-Valmore. Élégies, Paris : Librairie Payot et Cie, p. 59-60, 1913
« Jamais Adieu », Marceline Desbordes-Valmore. Le Livre des Tendresses, Paris : Nilsson, p. 57, 1930
« Jamais adieu », Boyer d’Agen. Les greniers et la guitare de Marceline, Paris : Marcel Seheur, p. 31, 1931
« Jamais adieu », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis de Marceline Valmore, avec une introduction, une biographie sommaire et une bibliographie par Yves-Gérard Le Dantec, Paris : Fernand Hazan, p. 51-52, 1950
« Jamais adieu », Marceline Desbordes-Valmore. Comme à ténèbre, Le Serment de fidélité, collection La bibliothèque des impardonnables, Paris : Fario, p. 18-20, 2017
Traductions du poème :
anglais :
« Not the Last Good-bye », Norman R. Shapiro, French Women Poets of Nine Centuries: The Distaff and the Pen, p. 591, The Johns Hopkins University Press, 2008
italien :
« Giammai addio », Walter Vaccari, Liriche d’Amore, p. 75, Milan : Modernissima, 1923
Giacomo Meyerbeer, « L’Absence », Paris : Launer, 1833.
Giacomo Meyerbeer, « Jamais adieu », Paris : Launer, 1833.
Jules De Glimes, « Jamais Adieu », Bruxelles : P. Nacher, 1842 (approx.).
Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :
JAMAIS ADIEU.
Et vers le ciel se frayant un chemin
Ils sont partis en se donnant la main.
De Béranger.
Ne t’en va pas, reste au rivage ;
L’amour le veut, crois-en l’amour.
La mort sépare tout un jour :
Tu fais comme elle ; ah ! quel courage !
Vivre et mourir au même lieu ;
Dire : au revoir ; jamais adieu.
Quitter l’amour pour l’opulence !
Que faire seul avec de l’or ?
Si tu reviens, vivrai-je encor ?
Entendras-tu dans mon silence ?
Vivre et mourir au même lieu ;
Dire : au revoir ; jamais adieu.
Leur diras-tu : Je suis fidèle ?
Ils répondront : Cris superflus ;
Elle repose, et n’entend plus.
Le ciel du moins eut pitié d’elle
Vivre et mourir au même lieu ;
Dire : au revoir ; jamais adieu.
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