« Le Réveil », Marceline Desbordes-Valmore. Élégies, Marie et romances, Paris : François Louis, p. 10, 1819
« Le Réveil », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Mme Desbordes-Valmore. Troisième édition, Paris : François Louis, p. 126, 1820
« Je dormais », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Troisième édition, Paris : Théophile Grandin, p. 150, 1822
« Je Dormais », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore [en deux tomes]. Tome I., Paris : Boulland, p. 469-470, 1830
« Je Dormais », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Tome second, Paris : Boulland, 1830
Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :
« Je dormais », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies complètes de Marceline Desbordes-Valmore publiées par Bertrand Guégan avec des notes et des variantes, tome premier, Paris : Éditions du Trianon, p. 251, 1931
« Je dormais », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 101, 1973
Édition du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :
« Je dormais », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis de Marceline Valmore, avec une introduction, une biographie sommaire et une bibliographie par Yves-Gérard Le Dantec, Paris : Fernand Hazan, p. 29, 1950
Louis Jadin, « Je révais », Paris : J. Frey ; pour Madame Georges Grenfell.
Albertine Gantier, « Le Réveil », Bruxelles : chez l’auteur, 1818 ; À madame Léopoldine Vanderfosse, née Goubau d’Hooghvorst.
Hilaire-Nicolas Guénin, « Je dormais », Paris : Ph. Petit, 1826 (ou avant) ; à madame Caroline Raynal.
André Rosa, « Je dormais », Paris : à Madame la marquise de Gabriac, 1847.
Georges Auric, « Le Réveil », Paris : Heugel, 1927.
Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :
JE DORMAIS
On sonne; on sonne; on sonne encore ;
C’est lui ! ... Dieu ! qu’il m’a fait souffrir !
Mais il revient, mais je l’adore :
Éveillez-vous, courez ouvrir !
Embellis-toi, sombre retraite,
Où si souvent il me trouva.
Il va venir... Mon sang s’arrête ;
Il tarde encor... Mon cœur s’en va.
Je n’y vois plus. Le ciel se couvre ;
Soulève-toi, nuage épais !
J’étends les bras, mon œil s’entr’ouvre...
Dieu ! c’est un songe, et je dormais.
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