« La pauvre fille », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies inédites de Madame Desbordes-Valmore publiées par M. Gustave Revilliod, Genève : Jules Fick, p. 253-254, 1860
« La pauvre fille », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Mme Desbordes-Valmore publiées par Gustave Revilliod (deuxième édition), Genève : Jules-Guillaume Fick, p. 279-280, 1873
Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :
« La pauvre fille », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore. 1833-1859. Élégies. Romances. Mélanges. Fragments. Poésies posthumes, Paris : Lemerre, p. 360-361, 1886
« La pauvre fille », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 575, 1973
Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :
« La pauvre fille », Marceline Desbordes-Valmore. L’amour, l’amitié, les enfants, mélanges. Choix, notices biographique et bibliographique par Alphonse Séché, Paris : Louis-Michaud, p. 56, 1910
« La pauvre fille », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies. Choix et notice par Oscar Colson. Bibliothèque francaise, Vol. LVI, Berlin : Internationale Bibliothek, p. 115, 1923
« La Pauvre Fille », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis de Marceline Valmore, avec une introduction, une biographie sommaire et une bibliographie par Yves-Gérard Le Dantec, Paris : Fernand Hazan, p. 127-128, 1950
« La pauvre Fille », Marceline Desbordes-Valmore, Hans Krieger. Tag des Feuers: Gedichte, Passau : Verlag Karl Stutz, p. 44, 2012
Traduction du poème :
allemand :
« Lebewohl », Hans Krieger, Tag des Feuers: Gedichte, Passau : Verlag Karl Stutz, 2012
Partition du poème mis en musique :
Joseph-Bonaventure Laurens, « La pauvre fille ».
Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :
LA PAUVRE FILLE
À toi le monde ! à toi la vie !
À toi tout ce que l’homme envie !
Mais dans l’ombre et sans me nommer,
À moi le ciel ! à moi le bonheur de t’aimer !
Tu n’en sauras rien sur la terre :
Flamme invisible en ton chemin,
Je vivrai d’un ardent mystère
Sans avoir rencontré ta main.
À toi le monde ! à toi la vie !
À toi tout ce que l’homme envie !
Mais dans l’ombre et sans me nommer,
À moi le ciel ! à moi le bonheur de t’aimer !
Jeune aigle, amour d’une hirondelle,
Qui te cache ses humbles jours,
Va planer loin d’un cœur fidèle
Dont le cri te suivra toujours.
À toi le monde ! à toi la vie !
À toi tout ce que l’homme envie !
Mais dans l’ombre et sans me nommer,
À moi le ciel ! à moi le bonheur de t’aimer !
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