« La première Communion d’Inès », Marceline Desbordes-Valmore. Bouquets et prières, Paris : Dumont, p. 275-277, 1843
Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :
« La première Communion d’Inès », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore. 1819-1859. Les Enfants et les Mères, Paris : Lemerre, p. 215-216, 1887
« La première communion d’Inès », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 499, 1973
Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :
« La Première Communion d’Inès », Marceline Desbordes-Valmore. Les Poésies de l’enfance, par Mme Desbordes-Valmore, Paris : Garnier Frères, p. 149-150, 1869
« La Première Communion d’Inès », Marceline Desbordes-Valmore. Les Poésies de l’enfance, par Mme Desbordes-Valmore, Deuxième édition. Revue et augmentée. Paris : Garnier Frères, p. 149-150, 1873
« La Première Communion d’Inès », Marceline Desbordes-Valmore. Les Poésies de l’enfance, par Mme Desbordes-Valmore, Troisième édition. Revue et augmentée. Paris : Garnier Frères, p. 149-150, 1876
« La Première Communion d’Inès », Marceline Desbordes-Valmore. Les Poésies de l’enfance, par Mme Desbordes-Valmore, Quatrième édition. Paris : Garnier Frères, p. 149-150, 1881
« La première communion d’Inès », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres choisies de Marceline Desbordes-Valmore avec études et notices par Frédéric Loliée, Paris : Libairie Ch. Delagrave, p. 125-126, 1909
Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :
LA PREMIÈRE COMMUNION D’INÈS
Tes yeux noirs, ma fille,
Sont plus doux ce soir,
Que l’encens qui brille
Au saint encensoir !
Tu sembles un ange,
Sous son voile encor,
Qui rêve et s’arrange
Pour prendre l’essor.
Jeune âme sauvage,
Tremblante en mes bras,
Confie au plus sage
Tes doux embarras :
Dans cette belle heure,
On cause avec Dieu ;
Va pour ce qui pleure,
Lui parler un peu !
Si l’enfant lui porte
Trois souhaits en fleurs,
Il ouvre sa porte
À ces vœux sans pleurs :
Pour rêver ces choses
Baisse bien les yeux,
Et laisse tes roses
S’exhaler aux cieux !
Pour l’hymne éphémère
De ta voix d’oiseau,
Demande à sa mère
L’appui d’un roseau ;
Pour tes jeunes ailes
Un vol sans effroi ;
Son soleil pour elles,
Ton bonheur pour moi !
Signaler une erreur ou transmettre un commentaire
Votre nom et/ou votre adresse de courriel :
Votre commentaire (les commentaires sont transmis à l'équipe d'administration du site mais ne sont pas affichés sur le site et ne donnent pas lieu à une réponse) :