Poème « La reconnaissance »

Premier vers dans l’édition de Marc Bertrand : « Hélas ! que je dois à vos soins !… »


Manuscrits du poème :

Éditions du poème :

Éditions du poème dans des recueils :

  • « La Reconnaissance », Marceline Desbordes-Valmore. Élégies et poésies nouvelles, Paris : Ladvocat, p. 147-148, 1825
  • « La Reconnaissance », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore [en deux tomes]. Tome I., Paris : Boulland, p. 527-528, 1830
  • « La Reconnaissance », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Tome second, Paris : Boulland, 1830

Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « La reconnaissance », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore. 1833-1859. Élégies. Romances. Mélanges. Fragments. Poésies posthumes, Paris : Lemerre, p. 153-154, 1886
  • « La Reconnaissance », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies complètes de Marceline Desbordes-Valmore publiées par Bertrand Guégan avec des notes et des variantes, tome premier, Paris : Éditions du Trianon, p. 294-295, 1931
  • « La reconnaissance », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 112, 1973

Édition du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :

  • « La reconnaissance », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies. Choix et notice par Oscar Colson. Bibliothèque francaise, Vol. LVI, Berlin : Internationale Bibliothek, p. 81-82, 1923

Partition du poème mis en musique :






Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

LA RECONNAISSANCE

        Hélas ! que je dois à vos soins !
        Vous m’apprenez qu’il est perfide,
        Qu’il trompa mon amour timide :
        C’est vous qui le jurez du moins...
        Hélas ! que je dois à vos soins !

        Pressez votre main sur mon cœur,
        Et jouissez de votre ouvrage ;
        Le malheur me rend le courage ;
        Mais pour juger de sa rigueur,
        Pressez votre main sur mon cœur !
    
        Adieu donc ma félicité ;
        Adieu sa présence et ma vie.
        Oh ! que vous m’avez bien servie,
        En me disant la vérité !
        Adieu donc ma félicité !

        Vous avez voulu me guérir,
        Cruelle ! ... Ah ! pardon ! je m’égare,
        Non, non, vous n’êtes point barbare ;
        Je le crois, dussé-je mourir.
        Vous avez voulu me guérir !





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