Poème « Le secret d’une bergère »

Premier vers dans l’édition de référence ci-dessous : « Quand l’alouette aura chanté,… »
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Manuscrits du poème :

Éditions du poème :

Édition du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « Le secret d’une bergère », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 592, 1973

Autre édition du poème :

Partition du poème mis en musique :






Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

LE SECRET D’UNE BERGÈRE

    Quand l’alouette aura chanté,
    Va m’attendre dans la prairie :
    Je quitterai la bergerie
    Quand l’alouette aura chanté
    Son chant d’amour, son chant d’été.

    Ne manque pas au rendez-vous !
    C’est là qu’en parlant de mon frère,
    Tu pleurais ! ... souviens-t’en, bergère !
    Ne manque pas au rendez-vous ;
    L’ombre s’étend : séparons-nous !

    J’entends du bruit, parlons plus bas !
    Un berger m’a dit qu’il m’adore ;
    Et même en ce moment encore...
    J’entends du bruit, parlons plus bas !
    C’est lui : Dieu ! ... ne regardez pas !

    Taisons-nous ! Jusqu’au point du jour
    Tu vois que j’ai bien fait d’attendre.
    Je l’aime, et j’allais te l’apprendre.
    Taisons-nous ! Mais, au point du jour,
    Tu sauras mon secret d’amour.





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