Poème « Simple oracle »

Premier vers dans l’édition de référence ci-dessous : « Veux-tu connaître l’avenir :… »
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Manuscrits du poème :

Éditions du poème :

Éditions du poème dans des recueils :

  • « Simple oracle », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies inédites de Madame Desbordes-Valmore publiées par M. Gustave Revilliod, Genève : Jules Fick, p. 13, 1860
  • « Simple oracle », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Mme Desbordes-Valmore publiées par Gustave Revilliod (deuxième édition), Genève : Jules-Guillaume Fick, p. 17-18, 1873

Prépublication :

  • « Simple oracle », Revue du Nord de la France, tome premier, n° IX, Lille : au bureau de La Revue, p. 281, 1854

Édition du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « Simple oracle », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 509, 1973

Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :

  • « Simple oracle », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies Choisies de M. Desbordes-Valmore avec introduction et notes par Maurice Allem, Paris : Garnier Frères, p. 140, 1935
  • « Simple oracle », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies. Collection « Textes précieux », n° 6, Paris : Henri Béziat, p. 41-42, 1941
  • « Simple oracle », Marceline Desbordes-Valmore, Choix et introduction par Raymonde Vincent, Paris : Egloff, p. 42, 1947
  • « Simple Oracle », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis de Marceline Valmore, avec une introduction, une biographie sommaire et une bibliographie par Yves-Gérard Le Dantec, Paris : Fernand Hazan, p. 95, 1950
  • « Simple oracle », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis. Le Livre de Poche Jeunesse. Fleurs d’encre, Paris : Hachette jeunesse, p. 83, 1997





Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

SIMPLE ORACLE

    Veux-tu connaître l’avenir :
    Interroge le souvenir.

    Les feuilles éparses des roses
    Nous en racontent toutes choses.

    Du moindre débris sans couleur
    Le parfum nous dit : "J’étais fleur."

    L’enveloppe à l’âme est donnée
    Qui commande à sa destinée.

    Jamais ne croîtra le raisin
    Sur l’épi mouvant son voisin.

    Comme s’ils naissaient tous ensemble
    Grain par grain à l’autre ressemble ;

    Et tant que le rosier vivra,
    Épine ou rose y renaîtra.





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