Poème « Soir d’été »

Premier vers dans l’édition de Marc Bertrand : « Le soleil brûlait l’ombre, et la terre altérée… »


Éditions du poème :

Éditions du poème dans des recueils :

  • « Soir d’été », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies inédites de Madame Desbordes-Valmore publiées par M. Gustave Revilliod, Genève : Jules Fick, p. 58, 1860
  • « Soir d’été », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Mme Desbordes-Valmore publiées par Gustave Revilliod (deuxième édition), Genève : Jules-Guillaume Fick, p. 89-90, 1873

Prépublications :

Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « Soir d’été », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore. 1833-1859. Élégies. Romances. Mélanges. Fragments. Poésies posthumes, Paris : Lemerre, p. 323-324, 1886
  • « Soir d’été », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 521, 1973

Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :

  • « Soir d’été », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres choisies de Marceline Desbordes-Valmore avec études et notices par Frédéric Loliée, Paris : Libairie Ch. Delagrave, p. 177, 1909
  • « Soir d’été », Marceline Desbordes-Valmore. Les plus beaux vers de Desbordes-Valmore, Paris : Nilsson, p. 43, 1920?
  • « Soir d’Été », Marceline Desbordes-Valmore. Le Livre des Tendresses, Paris : Nilsson, p. 70-71, 1930
  • « Soir d’été », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis. Le Livre de Poche Jeunesse. Fleurs d’encre, Paris : Hachette jeunesse, p. 125, 1997

Autres éditions du poème :

  • « Soir d’été », Revue européenne : lettres, sciences, arts, voxages. politique, tome dixième, Paris : Aux bureaux de la Revue européenne, p. 340, 1860
  • « Soir d’été », La France littéraire, artistique, scientifique, cinquième année, numéro 40, Lyon, p. 629, 1861-06-29

Traduction du poème :

  • grec :

Partition du poème mis en musique :






Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

SOIR D’ÉTÉ

  Le soleil brûlait l’ombre, et la terre altérée
  Au crépuscule errant demandait un peu d’eau ;
  Chaque fleur de sa tête inclinait le fardeau
      Sur la montagne encor dorée.

  Tandis que l’astre en feu descend et va s’asseoir
      Au fond de sa rouge lumière,
  Dans les arbres mouvants frissonne la prière,
      Et dans les nids : bonsoir ! bonsoir !

  Pas une aile à l’azur ne demande à s’étendre,
  Pas un enfant ne rôde aux vergers obscurcis,
  Et dans tout ce grand calme et ces tons adoucis,
      Le moucheron pourrait s’entendre.
  Aux Andelys





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