Poème « Solitude »

Premier vers dans l’édition de référence ci-dessous : « Abîme à franchir seule où personne, oh ! personne… »
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Manuscrits du poème :

Éditions du poème :

Édition du poème dans des recueils :

  • « Solitude », Marceline Desbordes-Valmore. Pauvres fleurs, Paris : Dumont, p. 87-88, 1839

Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « Solitude », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore. 1833-1859. Élégies. Romances. Mélanges. Fragments. Poésies posthumes, Paris : Lemerre, p. 25, 1886
  • « Solitude », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 391, 1973

Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :

  • « Solitude », Marceline Desbordes-Valmore. Le Livre des Tendresses, Paris : Nilsson, p. 102, 1930
  • « Solitude », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis de Marceline Valmore, avec une introduction, une biographie sommaire et une bibliographie par Yves-Gérard Le Dantec, Paris : Fernand Hazan, p. 65, 1950
  • « Solitude », Jeanine Moulin. Poètes d’aujourd’hui. Marceline Desbordes-Valmore, Paris : Seghers, p. 190, 1955





Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

SOLITUDE

  Abîme à franchir seule où personne, oh ! personne
  Ne touchera ma main froide à tous après toi :
  Seulement à ma porte où quelquefois Dieu sonne,
  Le pauvre verra, lui, que je suis encor moi,

  Si je vis ! Puis un soir, ton essor plus paisible,
  S’abattra sur mon cœur immobile, brisé
  Par toi ; mais tiède encor d’avoir été sensible
    Et vainement désabusé.





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