Poème « Le trèfle à quatre feuilles »

Premier vers dans l’édition de Marc Bertrand : « Tu fais de longs jours,… »


Manuscrits du poème :

Éditions du poème :

Éditions du poème dans des recueils :

  • « Le trèfle à quatre feuilles », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies inédites de Madame Desbordes-Valmore publiées par M. Gustave Revilliod, Genève : Jules Fick, p. 258-259, 1860
  • « Le trèfle à quatre feuilles », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Mme Desbordes-Valmore publiées par Gustave Revilliod (deuxième édition), Genève : Jules-Guillaume Fick, p. 283-284, 1873

Prépublication :

Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « L’Étoile verte », Boyer d’Agen. Œuvres manuscrites de Marceline Desbordes-Valmore : albums à Pauline, Paris : A. Lemerre, p. 163-164, 1921
  • « L’Étoile verte. », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore. Reliquiæ. Volume 4, Paris : A. Lemerre, p. 256-257, 1922
  • « Le trèfle à quatre feuilles », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 577, 1973

Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :

  • « Le trèfle à quatre feuilles », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies Choisies de M. Desbordes-Valmore avec introduction et notes par Maurice Allem, Paris : Garnier Frères, p. 190-191, 1935
  • « Le trêfle à 4 feuilles », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies. Collection « Textes précieux », n° 6, Paris : Henri Béziat, p. 50-10, 1941
  • « Le trèfle à quatre feuilles », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis. Le Livre de Poche Jeunesse. Fleurs d’encre, Paris : Hachette jeunesse, p. 115-116, 1997





Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

LE TRÈFLE À QUATRE FEUILLES

    Tu fais de longs jours,
    Qui chantent toujours,
    Trèfle, à qui te cueille.

    Tu portes bonheur
    Et sauves le cœur
    Qui bat sous ta feuille.

    Talisman des rois,
    Je trouve une fois
    Ton étoile verte !

    Grondent donc souvent
    Grêle, pluie, et vent
    Ma vie est couverte !

    Et quand même un jour
    J’entendrais l’amour
    Sonner à ma porte,

    Riant à ce nom,
    Je dirais : "Non, non,
    Que Dieu vous emporte !

    Je vois sous vos fleurs
    Que beaucoup de pleurs
    Ont mouillé vos armes.

    Je n’en suis plus là ;
    Mon cœur, le voilà ;
    Sans vous... mais sans larmes !"





Signaler une erreur ou transmettre un commentaire

Votre nom et/ou votre adresse de courriel :
Votre commentaire (les commentaires sont transmis à l'équipe d'administration du site mais ne sont pas affichés sur le site et ne donnent pas lieu à une réponse) :