Poème « La vie »

Premier vers dans l’édition de Marc Bertrand : « Nuage, nuage,… »


Manuscrits du poème :

Éditions du poème :

Édition du poème dans des recueils :

  • « La Vie », Marceline Desbordes-Valmore. Bouquets et prières, Paris : Dumont, p. 31-32, 1843

Édition du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « La vie », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 449, 1973

Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :

  • « La Vie », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes, Paris : Tchou, p. 146-147, 1965
  • « La vie », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis. Le Livre de Poche Jeunesse. Fleurs d’encre, Paris : Hachette jeunesse, p. 88, 1997
  • « La vie », Marceline Desbordes-Valmore. L’Aurore en fuite. Poèmes choisis. Choix et préface par Christine Planté, Paris : Points, p. 138, 2010
  • « La Vie », Marceline Desbordes-Valmore, Hans Krieger. Tag des Feuers: Gedichte, Passau : Verlag Karl Stutz, p. 8, 2012

Traductions du poème :

  • allemand :
    • « Das Leben », Hans Krieger, Tag des Feuers: Gedichte, Passau : Verlag Karl Stutz, 2012
  • japonais :
    • « いのち », Tamotsu Tanabe (田辺保), 恋の涙はもういらない ヴァルモール詩集, p. 60-61, Tokyo : サンリオ (Sanrio), 1983
  • slovène :
    • « Življenje », Marija Javoršek, Pesmi srca, Ljubljana : Zbirka Documenta, 2014
    • « Življenje », Marija Javoršek, Poezije, Ljubljana : Književno društvo Hiša poezije, 2016

Partition du poème mis en musique :

  • Mélanie Dentu, « Le Nuage », [s. l.] : [s. n.], 1851.





Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

LA VIE

      Nuage, nuage,
      Beau passant de l’air,
      Roulé dans l’orage,
      Fendu par l’éclair ;
      Couves-tu des flammes
      Dans ton flanc vermeil ?
      Portes-tu les âmes
      Filles du soleil ?

      Prends donc sur ton aile
      Mon âme avec toi ;
      Mon âme éternelle
      Est lasse de moi.
      Mon âme flétrie
      Qui vacille en bas,
      Sent que sa patrie
      Est là-bas ! là-bas !

      Prends-donc... mais que dis-je !
      À peine ma voix
      Te parle, ô prodige !
      À peine je vois
      Rayonner ta robe
      En reflet confus,
      Le vent te dérobe,
      Passant ! tu n’es plus !







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