Poème « [Elle est encor petite] » - L’œuvre poétique de Marceline Desbordes-Valmore

Poème « [Elle est encor petite] »

Premier vers dans l’édition de référence ci-dessous : « Elle est encor petite, et je peux tout lui dire ;… » ↓

Manuscrits du poème :

Manuscrit Ms1063-3 : 1063-3 f.101r Régis à Catherine Carmel. / Un rêve d’artiste. J’étais bien triste en t’écrivant, Catherine. Tes deux lettres ont augmenté ma tristesse, en y mélant une amertume / … Note : Longue CL, du domaine littéraire ? Vers de MDV insérés en haut des - Ms 1063-3 f. 103v et 104r, probalement suite à réemploi de feuillets uilisés. rblanc].

Éditions du poème :

Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

« [Elle est encor petite] », Boyer d’Agen. Œuvres manuscrites de Marceline Desbordes-Valmore : albums à Pauline, Paris : A. Lemerre, p. 40, 1921
« [Elle est encor petite] », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 629, 1973
« [Elle est encor petite] », Marc Bertrand. Marceline Desbordes-Valmore, œuvre poétique, Lyon : Jacques André éditeur, p. 487, 2007

Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

          *
        *    *

  Elle est encor petite, et je peux tout lui dire ;
  Son oreille est à moi, sa jeune âme est à Dieu.
  L’orgueil n’a pas soufflé sur l’âme ou Dieu respire,
  C’est l’encensoir tout plein des parfums du saint lieu.

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