Poème « [Frère, époux et maître] »

Premier vers dans l’édition de Marc Bertrand : « Frère, époux et maître,… »


Éditions du poème :

Édition du poème dans des recueils :

Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « [Frère, époux et maître] », Boyer d’Agen. Œuvres manuscrites de Marceline Desbordes-Valmore : albums à Pauline, Paris : A. Lemerre, p. 159-160, 1921
  • « Frère, époux et maître », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore. Reliquiæ. Volume 4, Paris : A. Lemerre, p. 251-252, 1922
  • « [Frère, époux et maître] », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 502, 1973

Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :

  • « Frère, époux et maître », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies Choisies de M. Desbordes-Valmore avec introduction et notes par Maurice Allem, Paris : Garnier Frères, p. 128-129, 1935
  • « *** [Frère, époux et maître] », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies. Collection « Textes précieux », n° 6, Paris : Henri Béziat, p. 33-34, 1941
  • « Frère, époux et maître », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies choisies, Ornements d’Henriette Huchard. Collection poétique. N° 4, Paris : Les Éditions De La Nouvelle France, p. 91-92, 1945
  • « Frère, époux et maitre », Marceline Desbordes-Valmore, Choix et introduction par Raymonde Vincent, Paris : Egloff, p. 36-37, 1947

Traductions du poème :

  • tchèque :
    • « *** [Choti, veliteli,] », Zdeňka Pavlousková, Knížka něžností, p. 60-61, Prague : Odeon, 1986
    • « Bratře, muži, pane... », Anděla Janoušková, Žár lásky, lásky žal : výbor z veršů, Prague : Československý spisovatel, 1989

Enregistrement du poème chanté :






Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

          *

        *    *

        Frère, époux et maître,
        Vous voulez connaître
        Ce que je fais là :
        Eh bien ! le voilà !

        Je vous aime encore,
        Comme à cette aurore
        Qui commence un jour
        Qu’on appelle amour.

        Jamais endormie,
        Mon âme est l’amie
        De vos jours souffrants,
        De vos vœux errants !

        Je crois que votre âme
        Est une autre flamme
        Que la même loi
        Amène vers moi !

        Près ou loin, ma vie,
        Je n’ai pas envie
        D’échapper au sort
        Si doux et si fort !

        Femme ou demoiselle,
        Je demeure celle
        Qui cueillit pour vous
        Le bouquet d’époux.

        Ainsi, je vous aime,
        Fidèle à moi-même ;
        Et je vous attends,
        Même après le temps.





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