Poème « [S’il m’eût aimée] »

Premier vers dans l’édition de Marc Bertrand : « S’il m’eût aimée, oh ! que la vie… »


Manuscrits du poème :

Éditions du poème :

Édition du poème dans des recueils :

Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « S’il m’eût aimée », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore. Reliquiæ. Volume 4, Paris : A. Lemerre, p. 130-131, 1922
  • « [S’il m’eût aimée] », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 397, 1973

Édition du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :

  • « S’il m’eût aimée », Boyer d’Agen. Les greniers et la guitare de Marceline, Paris : Marcel Seheur, p. 16, 1931

Partitions du poème mis en musique :

  • Pauline Duchambge, « Une femme », Paris : chez Ch Boieldieu, 1836.
  • Léonard Terry, « S’il m’eût aimée ! », Paris : Mme Lemoine, 1840.





Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

S’il m’eût aimée, oh ! que la vie
Eût passé légère sur moi !
Si dans la mort il m’eût suivie,
Que la mort m’eût fait peu d’effroi !
J’aurais trouvé des chants de l’âme,
Comme l’oiseau chante le jour,
Pour dire aux anges qu’une femme
Était heureuse par l’amour !





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