Sommaire de cette page
Édition au programme ⬆
Marceline Desbordes-Valmore, Les Pleurs, édition d’Esther Pinon, Paris, Flammarion, GF, n°1613, 2019.
Édition originale ⬆
Les Pleurs, poésies nouvelles, par Madame Desbordes-Valmore, Paris, chez Charpentier, libraire, Palais Royal, 1833.
Éditions numériques ⬆
- version Word de l’édition Goullet de 1834 des Pleurs
- Les Pleurs dans l’outil Voyant Tools (édition Goullet de 1834, sans titres ni notes ni épigraphes) pour lancer des recherches lexicales dans les poèmes (documentation de Voyant Tools en anglais)
Deuxième édition ⬆
Les Pleurs, Poésies nouvelles, par Madame Desbordes-Valmore, Deuxième édition. Paris, Chez Madame Goullet, libraire, Palais-Royal, n° 7, 1834.
Contrefaçon belge ⬆
Les Pleurs, par Madame Desbordes-Valmore. Bruxelles. E. Laurent, lmprimeur-éditeur, Place de Louvain, n° 7, 1837.
Autres éditions ultérieures ⬆
- GUÉGAN, Bertrand, Poésies complètes de Marceline Desbordes-Valmore, volume 2, Paris, éditions du Trianon, 1932, p. 179-367 (poèmes) & p. 385-411 (notes).
- BERTRAND, Marc, Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 1973, p. 197-253 (poèmes) & 337-372 (notes).
- BERTRAND, Marc, Marceline Desbordes-Valmore, œuvre poétique, Lyon, Jacques André éditeur, 2007.
Prépublications ⬆
- « II. La Vie et la Mort du ramier » : publication dans le Mémorial de la Scarpe en 1829, dans la Guirlande des Roses en 1830, dans les Annales romantiques en 1831, dans la Revue de Rouen en 1833.
- « III. L’attente » : publication dans la Gironde en juin 1833.
- « VI. Le Jumeau pleuré » : publication dans le Mémorial de la Scarpe le 24 juillet 1832 sous le titre « L’Enfant pleuré » et avec la dédicace « À Félicie D. ».
- « VIII. Toi ! Me hais-tu ? » : publication dans le Talisman en 1832 sous le titre « Laisse-moi t’aimer ».
- « XI. Malheur à moi ! » : publication dans le Mémorial de la Scarpe en 1829 sous le titre « Le mal d’aimer », dans le Chansonnier des Grâces en 1830.
- « XIII. Le Songe » : publication dans L’Almanach des dames en 1831 sous le titre « C’était un rêve ».
- « XVII. Les Ailes d’ange » : publication dans le Mémorial de la Scarpe en 1831, dans les Annales romantiques en 1832.
- « XVIII. Seule au rendez-vous » : publication dans le Mémorial de la Scarpe en 1832 sous le titre « Le Menteur d’amour ».
- « XIX. L’Adieu tout bas » : publication dans le Chansonnier des grâces en 1833.
- « XXVII. Tristesse » : publication dans le Mémorial de la Scarpe en 1832, dans les Soirées littéraires de Paris en 1833.
- « XXXII. L’Étonnement » : publication dans le Mémorial de la Scarpe en 1830, dans le Chansonnier des Grâces en 1831.
- « XXXIII. La Sincère » : publication dans le Mémorial de la Scarpe en 1831, dans les Annales romantiques en 1832, dans le Chansonnier des Grâces en 1833.
- « XXXVI. Le Rossignol aveugle » : publication dans l’Almanach des muses en 1832.
- « XXXVIII. À Monsieur Alphonse de Lamartine » : publication dans le Mémorial de la Scarpe en 1832.
- « XL. À Monsieur A. de L. » : publication dans le Mercure du XIXe siècle en 1830, dans le Mémorial de la Scarpe en 1831, dans le Keepsake français en 1831 sous le titre « À l’auteur des Harmonies », dans l’Almanach des Muses en 1832 sous le titre « Nacelle, dédiée à M. A. de Loy »
- « XLIX. L’âme de Paganini » : publication dans l’Écho de Rouen et de la Seine inférieure le 16 octobre 1832 sous le titre « Le nom de Paganini », dans le Papillon le 23 octobre 1832 sous le titre « Le nom de Paganini », dans l’Almanach des Muses en 1833 sous le titre « Le nom de Paganini ».
- « L. Jamais adieu » : publication dans le Chansonnier des Grâces en 1829.
- « LI. Le Retour du marin » : publication dans le Mémorial de la Scarpe en 1830, dans l’Almanach des Dames en 1831.
- « LII. L’Enfant au rameau » : publication dans le Mémorial de la Scarpe en 1832 sous le titre « La jeune fille au rameau ».
- « LIII. La Fiancée polonaise » : publication dans le Mémorial de la Scarpe en 1831, dans La Glaneuse le 18 septembre 1831.
- « LIV. Le Vieux Pâtre » : publication dans le Mémorial de la Scarpe, dans Le nouveau Keepsake français en 1833.
- « LVI. Le Crieur de nuit » : publication dans le Mémorial de la Scarpe en 1831, dans la Revue des Deux Mondes en mai 1833.
- « LVII. Une ondine » : publication dans le Chansonnier des Grâces en 1833.
- « LVIII. Imitation de Moore » :
- publication du premier nocturne dans le Kaléidoscope du 22 avril 1826 sous le titre « Le Marinier national », dans le Chansonnier des Dames en 1827, dans le Souvenir des Ménestrels en 1827 sous le titre « Belle, viens à moi », dans la Guirlande des Dames en 1829 ;
- publication du deuxième nocturne dans le Kaléidoscope du 25 février 1826, dans la Psyché en avril 1826, dans l’Hommage aux Dames en 1827, dans la Guirlande des Dames en 1829 ;
- publication du troisième nocturne dans la Psyché en mars 1826 sous le titre « Barcarolle, imitée de Thomas Moore », dans l’Almanach des Dames en 1828.
- « LXII. Le Premier Chagrin d’un enfant » : publication dans le Papillon du 19 février 1833, dans la Mosaïque lyonnaise du 29 février 1833.
- « LXIII. Le Coucher d’un petit garçon » : publication dans le Mémorial de la Scarpe le 14 octobre 1830 sous le titre « Le petit Oscar au petit Paul D. », dans la France littéraire en 1832, dans la Revue provinciale de Lyon sous le titre « Le coucher d’un enfant », dans les Annales romantiques en 1833, dans la Revue des Deux Mondes en mai 1833.
- « LXIV. L’Oreiller d’une petite fille » : publication dans le Mémorial de la Scarpe en 1830 sous le titre « Le coucher de l’enfant, au jeune Oscar D. », dans la Revue provinciale de Lyon en 1831 sous le titre « L’oreiller d’un enfant », dans le Chansonnier des Grâces en 1832, dans la France littéraire en 1832, dans les Soirées littéraires de Paris en 1833.
Versions lues ⬆
- « XXXIII. La Sincère » : lecture par Sabine Haudepin pour Les lundis de l’arsenal, Bibliothèque nationale de France, le 9 février 2009.
- « XLVII. Les Fleurs » : lecture en 1959 dans l’émission de France Culture « Marceline Desbordes-Valmore et sa postérité » (conférence donnée par Raymond Escholier le 12 octobre 1959).
- « LXIV. L’Oreiller d’une petite fille » :
- lecture par Sabine Haudepin pour l’Infolettre d’avril 2020 de la Société des études Marceline Desbordes-Valmore.
- lecture par Chloé Berthier pour le CD Mes poèmes préférés, vol. 1 – France Productions, 2014.
- lecture par Isabelle Carré pour le CD Anthologie poétique pour les enfants (58 poèmes sur la nature, la vie, l’amour), Frémeaux & Associés, 2008.
Versions chantées ⬆
- « III. L’Attente » : « Marceline ou la vie d’une femme : I. L’Absence », composé par Henry Woollett, Les compositeurs de Marceline Desbordes-Valmore, Solstice, 2009 (chant : Françoise Masset, piano : Nicolas Stavy).
- « IV. Dors-tu ? » : « Dors-tu », composé par Benoit Dayrat, Les Poètes Romantiques, 2018 (chant, guitare : Benoit Dayrat).
- « XV. Serais-tu seul ? » : « T’enfuirais-tu ? », composé par Pauline Duchambge, Chanson boum !, France Culture, 2008 (à 12’30, chant : Françoise Masset, piano : Claude Lavoix, 2008).
- « XXXIII. La Sincère » :
- « La sincère », composé par Ezéchiel Pailhès, Oh !, Circus Company, 2020 (chant : Ezéchiel Pailhès, saxophone : Damien Vandesande).
- « La Guirlande de Marceline: IV. La Sincère », composé par Louis Beydts, Les compositeurs de Marceline Desbordes-Valmore, Solstice, 2009 (chant : Françoise Masset, piano : Nicolas Stavy).
- « La sincère », composé par Pauline Duchambge, Chanson boum !, France Culture, 2008 (à 1’39, chant : Françoise Masset, piano : Claude Lavoix, 2008).
- « La sincère », composé par Guillaume Jouan, Après l’amour, Pias, 2005 (chant : Karin Clercq, guitare : Guillaume Jouan).
- « Концертный вальс « Искреннее признание » », composé par Aleksandr Dargomyzhsky, Alexander Dargomyzhsky. Woman’s love and life, IM LAB, 2001 (chant : Marina Philippova, piano : Ivan Mikhailov).
- « L. Jamais adieu » : « Jamais adieu », composé par Pascal Obispo, Billet de femme – Jive Epic, 2016 (chant : Pascal Obispo)
- « LXIV. L’Oreiller d’une petite fille » : « Cher petit oreiller », composé par Karol Beffa, Les doudous lyriques pour petits et grands enfants, 2018 (chant : Chœur 43, sous la direction de Myriam Lestel).
Partitions musicales ⬆
- « II. La Vie et la Mort du ramier » : mise en musique par Alfred Bruneau (1928).
- « III. L’Attente » : mise en musique par W. G. Katrioto-Skanderbek (1848), par Henry Woollett (1912) sous le titre « L’absence ».
- « IV. Dors-tu ? » : mise en musique par Louise de Caumont d’Adde (vers 1840) sous le titre « Et toi, dors-tu ? ».
- « XI. Malheur à moi ! » : mise en musique par Pauline Duchambge (1830), par Louise de Caumont d’Adde (vers 1840), par Jean Michaëli (1842), par Paul Henrion (1861), par Nicolas Louis (1865).
- « XII. La Jalouse » : mise en musique par Pauline Duchambge sous le titre « C’est elle », par Francesco Masini (en 1833), par Marco Aurelio Zani de Ferranti (19e siècle).
- « XIII. Le Songe » : mise en musique par Stanisław Moniuszko (1876) sous le titre « Sen (Le songe) » , par une compositrice ou un compositeur inconnu.
- « XIV. Ne viens pas trop tard ! » : mise en musique par Clémence Gardet (1928 [1838]).
- « XV. Serais-tu seul ? » : mise en musique par Pauline Duchambge (1833) sous le titre « T’enfuirais-tu ? », par Mademoiselle Flore B. (Flore-Joséphine Bourgogne ? vers 1845 ?).
- « XVII. Les Ailes d’ange » : mise en musique par Pauline Duchambge (vers 1830), par Pierre Colin (1831), par Guilhelmine Amelot (1844 ?), par une compositrice ou un compositeur inconnu (deuxième moitié du 19e siècle).
- « XIX. L’Adieu tout bas » : mise en musique par Pauline Duchambge (1815 ?) ; par Amédée de Beauplan (1834) sous le titre « Cherchez qui vous aime » ; par Marie Mennessier-Nodier (1835 ?), par Louise de Caumont d’Adde (vers 1840) sous le titre « Autant que moi-même », par Paul Henrion (1863).
- « XX. Ne me plains pas ! » : mise en musique par Joseph Ghys (1839) sous le titre « Sois libre, je t’oublie ! », par Pauline Duchambge (1830) sous le titre « Sois heureux ! Je t’oublie », par C. Andrea (1866).
- « XXVI. Détachement » : mise en musique par Henri Kaiser (1928).
- « XXXIII. La Sincère » : mise en musique par Pauline Duchambge (1836 ?), par François Gabriel Grast (1836), par Aleksandr Dargomyzhsky (1839), par C. Andrea (1866), par Mathias Joseph Hubert Beltjens (1869), par Luigi Denza, par Alfred Bruneau (1928), par E. Merlin (1920) sous le titre « Mon cœur est à vendre », par Christiane Verger (1937) sous le titre « Veux-tu l’acheter ? », par Louis Beydts (1945).
- « L. Jamais adieu » : mise en musique par Pauline Duchambge (1827) sous le titre « Au revoir, jamais adieu », par Jules de Glimes (vers 1842), par Amédée de Beauplan (19e siècle) sous le titre « Au revoir, jamais Adieu ».
- « LII. L’Enfant au rameau » : mise en musique par Pauline Duchambge (1931) sous le titre « La jeune fille au rameau ».
- « LVI. Le Crieur de nuit » : mise en musique par Louis Arène (1887).
- « LVIII. Imitation de Moore » :
- I. : mise en musique par Pauline Duchambge sous le titre « Viens à moi » (1834), par Henry Lemoine sous le titre « Le Gondolier », par Auguste Panseron (vers 1820 ?) sous le titre « Belle, viens à moi », par Maria Malibran (1835) sous le titre « Belle, viens à moi », par Félix Godefroid (1836) sous le titre « La Gondole de nuit », par Charles de Dufort (1845) sous le titre « Les Gondoles vénitiennes », par Eugénie de Santa-Coloma-Sourget (vers 1850 ?) sous le titre « L’Appel du gondolier », par Daudeteau (1861), par Edmond Michotte (1864) sous le titre « Barcarolle », par C. Andrea (1866) sous le titre « Minuit à Venise », par Antoine de Choudens (vers 1870) sous le titre « Viens à moi », par Felipe Pedrell (vers 1879) sous le titre « Barcarolle », par Francisque Darcieux (en 1930) sous le titre « Entends-tu les gondoles ».
- III. : mise en musique par Charles Philippe Lafont (1828) sous le titre « Sur l’eau qui te balance », par A.-B. Roux-Martin (entre 1825 et 1835) sous le titre « Les Gondoliers », par Charles de Dufort (1837) sous le titre « Nuit et silence ».
- « LXIII. Le Coucher d’un petit garçon » : par Léon Gastinel (1878)
- « LXIV. L’Oreiller d’une petite fille » : par Pauline Duchambge (1835), par Jules De Glimes (1853), par Augustin-Jean-Émile d’Etcheverry (1853), par Paul Uffoltz (1875), par Mme Sounier-Geoffroy (1876) sous le titre « L’oreiller d’un enfant », par Eugène Chanat (1877) sous le titre « L’oreiller d’un enfant », par Claude Augé (1912) sous le titre « L’oreiller d’un enfant », par Henri Lluis (1922) sous le titre « Prière », par Karol Beffa (2018) sous le titre « L’enfant dort ».