Copie de lettre à Jean-Baptiste Gergerès, à Bordeaux. Lyon : 16.05.1829. Note : MDV a copié ci la dernière strophe du poème actuellement connu sous le titre Pardon (Bertrand, p. 221) : « Dieu n’a pas dit : Brisez son fragile courage ! Dieu fit le roseau faible et l’air est son appui. L’espérance, c’est Dieu ! Même au sein de l’orage. Je suis roseau, je tremble et je cherche après lui. » Pardon — « Et toi, crois-tu comme eux le ciel inexorable ?… »
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