L’horloge arrêtée, poème autographe signé Marceline Valmore, 1840 : 1 page in-8 oblong à l’encre brune (traces de colle au verso et petits manques sans atteinte au texte), provenant de l’album amicorum de la chanteuse lyrique Jane Bianchi. Vente R&C « Collections : manuscrits, livres, photographies, philatélie et bandes-dessinées », 224 rue Paradis à Marseille, jeudi 14 septembre 2023
Éditions du poème :
Édition du poème dans des recueils :
« L’Horloge arrêtée », Marceline Desbordes-Valmore. Bouquets et prières, Paris : Dumont, p. 45-46, 1843
Prépublication :
« Une horloge arrêtée », Revue de Paris, Sainte-Beuve, « Sur Mme Desbordes-Valmore », p. 236-243, nouvelle série, tome sixième, juin, Bruxelles : aux bureaux de la Revue de Paris, p. 244, 1842-06
Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :
« L horloge arrêtée », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore. 1833-1859. Élégies. Romances. Mélanges. Fragments. Poésies posthumes, Paris : Lemerre, p. 86, 1886
« L’horloge arrêtée », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 452, 1973
Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :
« L’horloge arrêtée », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies. Choix et notice par Oscar Colson. Bibliothèque francaise, Vol. LVI, Berlin : Internationale Bibliothek, p. 65, 1923
« L’Horloge arrêtée », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis de Marceline Valmore, avec une introduction, une biographie sommaire et une bibliographie par Yves-Gérard Le Dantec, Paris : Fernand Hazan, p. 81, 1950
« L’horloge arrêtée », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis. Le Livre de Poche Jeunesse. Fleurs d’encre, Paris : Hachette jeunesse, p. 84, 1997
« زمان محبوس », (مرضیه آقارضایی) Marzieh Agharezaei,
Partition du poème mis en musique :
Jean-Baptiste Robin, « Tic-Tac », Paris : Gérard Billaudot, 2018.
Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :
L’HORLOGE ARRÊTÉE
Horloge d’où s’élançait l’heure
Vibrante en passant dans l’or pur,
Comme l’oiseau qui chante, ou pleure
Dans un arbre où son nid est sûr :
Ton haleine égale et sonore,
Dans le froid cadran ne bat plus :
Tout s’éteint-il comme l’aurore
Des beaux jours qu’à ton front j’ai lus !
Signaler une erreur ou transmettre un commentaire
Votre nom et/ou votre adresse de courriel :
Votre commentaire (les commentaires sont transmis à l'équipe d'administration du site mais ne sont pas affichés sur le site et ne donnent pas lieu à une réponse) :