Poème « L’horloge arrêtée »

Premier vers dans l’édition de Marc Bertrand : « Horloge d’où s’élançait l’heure… »


Manuscrits du poème :

Éditions du poème :

Édition du poème dans des recueils :

  • « L’Horloge arrêtée », Marceline Desbordes-Valmore. Bouquets et prières, Paris : Dumont, p. 45-46, 1843

Prépublication :

  • « Une horloge arrêtée », Revue de Paris, Sainte-Beuve, « Sur Mme Desbordes-Valmore », p. 236-243, nouvelle série, tome sixième, juin, Bruxelles : aux bureaux de la Revue de Paris, p. 244, 1842-06

Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « L horloge arrêtée », Marceline Desbordes-Valmore. Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore. 1833-1859. Élégies. Romances. Mélanges. Fragments. Poésies posthumes, Paris : Lemerre, p. 86, 1886
  • « L’horloge arrêtée », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 452, 1973

Éditions du poème dans des anthologies de poèmes de Desbordes-Valmore :

  • « L’horloge arrêtée », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies. Choix et notice par Oscar Colson. Bibliothèque francaise, Vol. LVI, Berlin : Internationale Bibliothek, p. 65, 1923
  • « L’Horloge arrêtée », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis de Marceline Valmore, avec une introduction, une biographie sommaire et une bibliographie par Yves-Gérard Le Dantec, Paris : Fernand Hazan, p. 81, 1950
  • « L’horloge arrêtée », Marceline Desbordes-Valmore. Poèmes choisis. Le Livre de Poche Jeunesse. Fleurs d’encre, Paris : Hachette jeunesse, p. 84, 1997

Traduction du poème :

Partition du poème mis en musique :

  • Jean-Baptiste Robin, « Tic-Tac », Paris : Gérard Billaudot, 2018.





Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

L’HORLOGE ARRÊTÉE

    Horloge d’où s’élançait l’heure
    Vibrante en passant dans l’or pur,
    Comme l’oiseau qui chante, ou pleure
    Dans un arbre où son nid est sûr :
    Ton haleine égale et sonore,
    Dans le froid cadran ne bat plus :
    Tout s’éteint-il comme l’aurore
    Des beaux jours qu’à ton front j’ai lus !





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