Poème « Hortense Seligmann »
Premier vers dans l’édition de référence ci-dessous : « C’est... hélas ! non, c’était la lointaine colombe,… » ↓
Manuscrits du poème :
- Manuscrit Ms1063-11 : 1063-11 f.64 Nadège. Elle est aux cieux la douce fleur des neiges / elle se fond au bord de son printemps … [daté à la fin :] Rouen. juillet 1832.
Éditions du poème :
Édition du poème dans des recueils :
- « Hortense Seligmann », Marceline Desbordes-Valmore. Pauvres fleurs, Paris : Dumont, p. 167, 1839
Édition du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :
- « Hortense Seligmann », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 408, 1973
Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :
HORTENSE SELIGMANNMORTE A 12 ANS
C’est... hélas ! non, c’était la lointaine colombe,
Lasse d’un peu d’argile à ses pieds gracieux ;
Et la jeune passante a cherché sous la tombe
Son chemin pour rentrer aux cieux !
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