Poème « La jeune pastourelle »

Premier vers dans l’édition de référence ci-dessous : « Ma bergère chérie,… »
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Éditions du poème :

Prépublication :

  • « La jeune pastourelle », Le Chansonnier des Grâces : avec la musique gravée des airs nouveaux, Paris : François Louis, p. 172, 1827

Édition du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « La jeune pastourelle », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 590, 1973

Autre édition du poème :

  • « [Ma bergère chérie,] », Marceline Desbordes-Valmore. Les Veillées des Antilles, Paris : François Louis, p. 153-154, 1821

Partitions du poème mis en musique :






Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

LA JEUNE PASTOURELLE

      Ma bergère chérie,
      Fraiche comme les fleurs,
      Brille dans la prairie,
      Au milieu de ses sœurs.
      Ô jeune pastourelle,
      Qui m’avez pris ma foi,
      Que n’êtes-vous moins belle,
      Ou pauvre comme moi !

      Le jour où je l’ai vue
      Sera mon plus beau jour ;
      Sa première entrevue
      Fait entrevoir l’amour.
      Ô jeune pastourelle,
      Qui m’avez pris ma foi,
      Que n’êtes-vous moins belle,
      Ou pauvre comme moi !

      Une heureuse aventure
      Me la fit secourir ;
      Hélas ! de sa blessure
      C’est moi qui vais souffrir...
      Ô jeune pastourelle,
      Qui m’avez pris ma foi,
      Que n’êtes-vous moins belle,
      Ou pauvre comme moi !





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