Poème « Les trois heures du jour »

Premier vers dans l’édition de référence ci-dessous : « Comme un bouton, près d’éclore,… »
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Manuscrits du poème :

Éditions du poème :

Éditions du poème dans des recueils :

  • « Les trois Heures du jour », Marceline Desbordes-Valmore. Élégies, Marie et romances, Paris : François Louis, p. 14, 1819
  • « Les trois heures du Jour », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Mme Desbordes-Valmore. Troisième édition, Paris : François Louis, p. 127, 1820
  • « Les trois Heures du jour », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Troisième édition, Paris : Théophile Grandin, p. 145, 1822
  • « Les trois Heures du jour », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore [en deux tomes]. Tome I., Paris : Boulland, p. 463-464, 1830
  • « Les trois Heures du jour », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies de Madame Desbordes-Valmore. Tome second, Paris : Boulland, 1830

Prépublication :

  • « Le matin le midi et le soir », Les Soupers de Momus, recueil de chansons et de poésies fugitives, Paris : François Louis, p. 141, 1814

Éditions du poème dans des volumes de l’œuvre poétique de Desbordes-Valmore :

  • « Les trois Heures du Jour », Marceline Desbordes-Valmore. Poésies complètes de Marceline Desbordes-Valmore publiées par Bertrand Guégan avec des notes et des variantes, tome premier, Paris : Éditions du Trianon, p. 246, 1931
  • « Les trois heures du jour », Marc Bertrand. Les Œuvres poétiques de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, p. 100, 1973

Traduction du poème :

  • japonais :
    • « 一日の三つのとき », Tamotsu Tanabe (田辺保), 恋の涙はもういらない ヴァルモール詩集, p. 50-51, Tokyo : サンリオ (Sanrio), 1983

Partitions du poème mis en musique :






Texte du poème (selon l’édition de Marc Bertrand de 1973) :

LES TROIS HEURES DU JOUR

        Comme un bouton, près d’éclore,
        D’un seul regard de l’Aurore
        Attend le bienfait du jour,
        Dans l’âge de l’innocence,
        Séduite par l’espérance,
        J’attendais tout de l’Amour.

        Comme la fleur imprudente
        Se plaît à suivre la pente,
        Qui l’expose aux feux du jour,
        Je m’abandonnai, sans guide,
        Au penchant non moins rapide
        Qui m’entraînait vers l’Amour.

        Comme la fleur desséchée,
        Pâle et tristement penchée,
        S’effeuille au déclin du jour,
        Mon soir touche à ma naissance,
        Et je pleure l’Espérance
        Qui s’envole avec l’Amour.





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