Le retour à Bordeaux — « Salut ! rivage aimé de ma timide enfance,… » Le printemps — « Le printemps est si beau ! Sa chaleur embaumée… » L’attente — « Il m’aima. C’est alors que sa voix adorée… » L’impatience — « Ne viens pas ; non ! Punis ton injuste maîtresse :… » L’indiscret — « Dans la paix triste et profonde… » Le pauvre Pierre — « Il fait nuit. Le front triste, et couvert de poussière,… » Le mendiant — « Un ministre du ciel courbé sous les offrandes… » La vallée — « Non ! je ne verrai plus de si belle vallée… » Trois nocturnes II — « Quand le soleil couchant sur les flots se balance,… » Trois nocturnes I — « Entends-tu les gondoles… » Trilby ou le lutin d’Argail — « Ce doux lutin qu’il me faut oublier,… » Le retour chez Délie — « C’est ici... Pardonnez, je respire avec peine ;… » Le retour chez Délie — « C’est ici... Pardonnez, je respire avec peine ;… » Le derviche et le ruisseau — « Un ruisseau, frais enfant d’une source cachée,… » Imitation libre de Thomas Moore — « Quand la première abeille errante et parfumée… » Toi ! De Thomas Moore — « Du frais matin la brillante lumière,… » Le bon ermite — « Ermite, votre chapelle… » Élégie — « Toi que l’on plaint, toi que j’envie,… » Je l’ai vu — « Ma sœur, il ne faut me blâmer… » Un jour de deuil — « Rentrons, mes chers enfants ; de la foule éplorée… » La jalousie — « Qu’as-tu fait d’un aveu doux à ton espérance ?… » Que je te plains — « Dis-moi, fera-t-il beau demain ?… » Les serments — « Hélas ! que les vieillards savent de tristes choses !… » Bonsoir — « Il a demandé l’heure ; oh ! le triste présage !… » Imitation libre de Thomas Moore — « Quand la première abeille errante et parfumée… » Imitation libre de Thomas Moore — « Quand la première abeille errante et parfumée… » L’orage — « Dans sa course brûlante,… » La séparation — « Il le faut, je renonce à toi ;… » L’hyacinthe — « J’aurai toujours des pleurs pour le nom d’hyacinthe,… » L’accablement — « Mes yeux rendus à la lumière,… » La reconnaissance — « Hélas ! que je dois à vos soins !… » S’il avait su — « S’il avait su quelle âme il a blessée,… » On me l’a dit — « Désirer sans espoir,… » Sans l’oublier — « Sans l’oublier, on peut fuir ce qu’on aime,… » Souvenir — « Son image, comme un songe,… » À M. de Béranger — « Bon captif, la fée Urgande… » Chant d’une jeune esclave — « Il est un bosquet sombre où se cache la rose,… » À Mademoiselle Mars — « De Thalie… » À Méhul — « Quand la brise du soir, triste et mélodieuse,… » Le printemps — « Le printemps est si beau ! Sa chaleur embaumée… » L’isolement — « Quoi ! ce n’est plus pour lui, ce n’est plus pour l’attendre,… » Souvenir — « Quand il pâlit un soir, et que sa voix tremblante… » À Mademoiselle Georgina Nairac — « Ah ! prends garde à l’amour, il menace ta vie :… » À ma sœur — « Que veux-tu ? je l’aimais. Lui seul savait me plaire ;… » À ma sœur — « Qu’ai-je appris ! le sais-tu ? sa vie est menacée,… » Albertine — « Que j’aimais à te voir, à t’attendre, Albertine ;… » Souvenir — « Toujours je pleure au nom de mon enfant :… » Le rêve de mon enfant — « « Mère ! petite mère ! » Il m’appelait ainsi :… » Le vieux crieur du Rhône — « On avait couronné la Vierge moissonneuse,… » La guirlande de Rose-Marie — « Te souvient-il, ma sœur, du rempart solitaire… » Point d’adieu — « Vous, dont l’austérité condamne la tendresse,… » Le pélican — « Tout perdu dans le soin de sa jeune famille,… » Le billet d’une amie — « Oh ! qu’il ne fût, m’écrivait une amie,… » Une jeune fille et sa mère — « Ce jour si beau, ma mère, était-ce un jour de fête ?… » Fable imitée du russe — « D’une sourde blessure encor faible et malade,… » Les deux abeilles — « Au fond d’une vallée où s’éveillaient les fleurs,… »